Ni vrai...ni fausse...juste des croyances :-)

"Le comportement de cette personne n'est pas cette personne."

Cela se rapproche de l'idée  que l'on n'est pas son mental il me semble et c'est aussi riche/fort comme idée que peu instinctif à appréhender (pour moi).

tout de même pris pour soi : il me semble que l'on est ce que l'on fait et on deviendra l'accumulation de nos actes présents.
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Dans le même ordre "chacun dispose de toutes les ressources pour réaliser les changements qu'elle désire." Présupposé très fort mais quid de l’accès à ces (ses) ressources.

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J'adhère plus facilement à " tout comportement à une intention positive et il existe un contexte dans lequel le comportement est valorisable.
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"la signification de notre communication se trouve dans la réponse que l'on obtient."  effectivement il y a matière à s'interroger parfois sur la réponse obtenu par rapport à ce que l'on en attendait.

(ça me rappelle  la définition de Coluche d'un polytechnicien : quelqu'un qui une fois qu'il a répondu à votre question.. vous ne comprenez plus votre question. )
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"toute personne est unique" et j'aurai tendance à continuer par " et a quelque chose à vous apprendre".

Voilà ce que je choisi de mettre en avant.

Allez, je me lance...

Les présupposés qui ont retenu mon attention :
"il n'y a pas d'échec, seulement des résultats" : pourquoi elle me parle car quand on parle d'échec c'est négatif, c'est échoué, c'est ne pas réussir qq chose selon moi ; alors que le résultat, c'est le constat de ce qui été produit, sans jugement ni + ni - ; cela nous permet de réfléchir sur la manière dont cela a été fait, d'analyser ce qui a très bien fonctionné, pour le reproduire, et d'analyser aussi nos prochains points de progression. c'est donc constructif.

"Le comportement d'une personne n'est pas cette personne" : oui et je l'expérimente beaucoup avec ma fille cela ; on ne dit pas a un enfant, tu es méchant par exemple ou tu es fainéant ; On ne remet pas en question ce qu'il est mais juste le comportement qu'il a eu pour une situation donnée.

"On ne peut pas ne pas communiquer" : oui on communique même avec un battement de cil...

tous les pré supposés en PNL m'interpellent et j'espère tous les intégrés d'ici la fin de la formation.
Toutefois : "Les personnes réalisent face à une situation donnée le meilleur choix parmi les options qu'elles ont de disponibles à ce moment là"
La personne choisi la moins pires des solutions pour elle en fonction de sa carte du monde. j'aime beaucoup car pour moi ça fait référence à Guy Ausloos avec le concept de "la compétence des familles".
Le thérapeute accepte les solutions misent en œuvre de son patient/client comme les seules possibles en raison de ses croyances, de sa carte et de l'accès aux ressources.

Les présupposés de la PNL sont des principes de base, « des postulats », des hypothèses de base de la PNL, des généralisations du monde servant de base à la PNL.

Parmi les présupposés j’ai retenu les suivants :
- La carte n’est pas le territoire : toute personne construit sa vision du monde en fonction de ce qu’elle en perçoit à travers ses propres filtres (VAKOG), ses propres croyances et généralisations du monde. Cette construction ne peut donc qu’être partielle incomplète. Elle n’est pas le monde.
- La signification de la communication est dans la réponse qu’elle suscite : toute interaction avec une personne se fait à travers des filtres sensoriels dont l’acuité, la finesse est propre à chaque personne. Par conséquent le retour que l’on obtient du message que l’on veut faire passer (le feedback) nous permet de définir la qualité de notre communication.

- On ne peut pas ne pas communiquer : toute personne communiquer aussi bien par le langage verbal que non verbal. Ce n’est pas parce que l’on ne dit rien, qu’aucun mot sort de notre bouche que l’on ne communique pas, que l’on n’envoie pas un message.
- Il n’y a pas d’échec seulement des résultats : toute action que l’on fait engendre une réaction. Si la réaction obtenue n’est pas celle entendu, il faut recommencer notre action mais différemment ce qui donnera lieu à une réaction différente, jusqu’à ce que l’on obtienne la réaction attendue.
- Toute personne est unique : même si à la naissance nous sommes tous dotés du même cerveau, celui-ci est « formaté » par nos expériences, nos croyances, nos généralisations du monde, notre perception du monde à travers le filtre que constituent nos différents sens. Par conséquent chaque personne, chaque être possède son fonctionnement qui lui est propre, sa propre réalité du monde.
- Dans une interaction la personne avec la plus grande flexibilité de comportement domine l’échange : lors d’un échange, d’une interaction, d’un dialogue, la personne qui porte une attention particulière à agrandir en permanence sa carte du territoire qu’il s’est construite de son interlocuteur, aura plus de facilité à voir les choses différemment et à faire preuve de souplesse « intellectuelle », de souplesse de « raisonnement » qui lui permettront d’atteindre l’objectif fixé.