Structure, vous avez dit structure?

Les interventions PNL qui s'intéressent à la structure d'une situation prennent comme appui les représentations internes du client (modalités - VAKOG interne, submodalités).

Le contenu autrement dit les faits, exprimé par des mots, n'ont pas besoin d'être connus du praticien pour agir sur les états du client. Plutôt intéressant face à des clients ayant des difficultés à se livrer même avec une synchronisation optimisée.

La PNL c'est de la modélisation.
Les PNListes s'attachent au comment de la construction de l'expérience,la structure.
Le fond n'a pas d'importance.

La structure regroupe toutes les submodalités (images, sons, couleurs...) qu'une personne se fait d'une représentation. C'est la toute 1ère représentation que l'on a dans sa tête.

Hello everybody ,

   A ce moment de notre formation je crois que l'on peut avancer que la PNL se concentre prioritairement sur la structure de l'expérience.

    L'expérience nous l'avons vu est fondamentalement subjective et nous obtenons pour une même expérience vécue par deux personnes , deux résultats originaux , uniques.
 
      Quand ils en parleront ces deux personnes exposeront des expériences différentes parce qu'en tant que concepteurs , ils auront mis en place une structure originale.
 
  La construction de la structure de l'expérience on l'a vue dans l’enchaînement :


Stimulus sensoriels                                        Simulateur mental    
VAKOG EXTERNE.. ....(3 Filtres). ..  VAKOG INTERNE
Environnement/infos                                            Rep. mentale
                                                                      Interprétation

  Chacun réalise cette opération de manière originale pour de multiples raisons que nous avons exposé dans l'épisode précédent  

Si la PNL se concentre sur cette structure c'est que l'un des ses objectifs est de la faire évoluer pour accéder au changement et au mieux être en trouvant des.....Solutions !!!!

    Si j'ai bien compris c'est à ce moment que les submodalités rentrent en jeu. Vous souvenez vous? On a "joué" à se remémorer des expériences positives ou négatives à les décrire en V A K suivant leur présence ou pas puis à creuser encore en décortiquant chaque modalités en autant de sous parties qui précisait encore mieux notre représentation mentale de l'expérience.  
 
   Comme si en y pensant rapidement on avait conscience du minimum et qu'en explorant mentalement et en se concentrant davantage tout se précisait ,prenait corps ,et pouvait être décrit de manière plus complète.

  J'ai trouvé que cette gymnastique mentale n'était pas évidente au début et demandait pas mal  de concentration..

  Par la suite on a étendu la pratique à la variation des intensités de ses submodalités : on augmente les couleurs , on baisse le son , on intensifie la sensation de chaleur du soleil sur la peau , en ressentant à chaque fois des effets dans nos sensations allant jusqu’à provoquer des émotions..

   ça m'a donné l'impression de créer mentalement des curseurs que je pouvais actionner par la suite..Whaaa.. Excellent !
   Majorer les sensations positives, minorer les sensations négatives on perçoit d’ici les applications thérapeutiques..

    Si je me souviens bien de ce que Frédéric nous a expliqué samedi :  
   
      En travaillant sur les submodalités on change la structure de l'expérience ce qui entraîne un changement des sensations associées à cette expérience ce qui entraîne une modification du modèle mental de la réalité de la personne  et donc une modification de sa réalité proprement dite.. C'est bien ça ?

Donc la réalité est modifiable, bienvenu a bord attachez vos ceintures  
 
    En fait non, puisque la réalité objective n'existe pas.. Ce qui est modifiable c'est notre vision subjective de la réalité.


  Mais bon dans cette structure il y a bien un contenu , une matière que l'on choisit de mettre en avant si cela entraîne des émotions positives ou d'atténuer dans le cas inverse.

   Est ce que  le contenu s'oppose vraiment à la structure ?
 
     La structure est pleine de contenu et le contenu s'organise en structure..
   
       Je pense que là ou il y a opposition c'est dans la forme d'intervention particulière à la PNL qui va s' intéresser à cette structure , la décrypter , la modéliser ou la faire évoluer pour provoquer des solutions , s'opposant alors à d'autres formes thérapeutiques qui se concentreront uniquement sur le contenu et ses effets négatifs recherchant la compréhension plus que des solutions..

   

Comme on dirait sur un certain réseau social connu : J'AIME!  

bonjour à vous tous,

Désolé pour ce retard, mais voilà...
 
en PNL, un grand nombre d'interventions se fait au niveau de la structure de l'expérience à cause de ses diverses possibilités d'exploration des éléments structurels qui la compose. La structure représentant le contenant de cette expérience, elle est alors révélée par l'approche de la structure profonde et de surface.
La structure de surface étant subjective car retranscrite par le biais du langage écrit et verbal en lien avec les niveaux de logiques que connait cette personne et comment compose t'il avec ces niveaux, sans oublier ses processus mentaux qui l'accompagnent.

Le méta modèle de la communication s'appuiera sur l'étude de la structure profonde qui n'est pas transformée par le langage, via les submodalités.
Cette modélisation permettra d'accéder à plus de précision et de clarification de ce que communique la personne de son expérience.
Bien évidemment, l'être humain retranscrit ce qui est pour lui de l'ordre de la conscience. Il faudra donc alors aller chercher quand , pourquoi et comment communique t'il de cette façon pour Comprendre alors ses stratégies mentales.

La structure s'oppose au contenu de l'expérience car cela renferme un domaine qui touche à l'inconscience. A cet effet, la psychothérapie peut être utilisée si le besoin s'en fait sentir.